Ansaroul Islam: The Rise and Decline of a Militant Islamist Group in the Sahel

Burkina Faso’s first militant Islamist group, Ansaroul Islam, has faced setbacks, pointing to the weaknesses of violent extremist organizations lacking deep local support and facing sustained pressure.

After years of avoiding militant Islamist violence, Burkina Faso has experienced a rapid growth in attacks since 2016. In 2018, there were 137 such violent events involving 149 fatalities. By mid-2019, militant Islamist groups already had outpaced these numbers with 191 episodes of violence and 324 fatalities. Three groups have been primarily responsible—the Islamic State in the Greater Sahara (ISGS), the Macina Liberation Front (FLM) faction of the Jama’at Nusrat al Islam wal Muslimeen (JNIM) coalition, and Ansaroul Islam.

Exploiter le chaos : l’Etat islamique et al-Qaeda

Synthèse

L’Etat islamique (EI), les groupes liés à al-Qaeda, Boko Haram et d’autres mouvements extrémistes sont les protagonistes des crises les plus meurtrières d’aujourd’hui, ce qui complique les efforts pour y mettre fin. Ils exploitent les guerres, la faillite des Etats et les bouleversements géopolitiques au Moyen-Orient, s’implantent en Afrique et constituent ailleurs une menace en constante évolution. Enrayer leur avancée nécessite d’éviter les erreurs qui ont permis leur ascension. Cela implique de distinguer les groupes selon leurs objectifs ; de faire un usage plus différencié de la force ; de ne pas repousser les militants sans avoir au préalable une alternative crédible ; et de considérer établir des voies de communication, même avec les plus radicaux. Il est également vital de désamorcer les crises dont ils se nourrissent et de prévenir l’apparition de nouveaux conflits, en poussant les dirigeants au dialogue, à l’intégration et aux réformes, et en réagissant avec mesure aux attaques terroristes. L’essentiel est que la lutte contre « l’extrémisme violent » ne distraie pas, ni n’aggrave, des menaces plus graves encore, notamment les rivalités croissantes entre puissances, régionales et internationales.

Nord du Burkina Faso : ce que cache le jihad

Les violences jihadistes au Sahel de l’Afrique de l’Ouest se sont propagées dans le nord du Burkina Faso. La réponse de Ouagadougou et ses partenaires doit tenir compte des racines sociales et locales de la crise et non uniquement de ses dimensions religieuses et sécuritaires.

Stratégies d’infiltration de la surveillance biométrique dans nos villes et nos vies

Depuis 2019, l’initiative Technopolice documente et analyse le déploiement illégal des technologies d’intelligence artificielle qui cherchent à augmenter la puissance policière de répression dans l’espace public. En quatre ans, ces technologies se sont perfectionnées et leurs promoteurs – des entreprises et des représentants de politiques sécuritaires – tentent de sortir de cette position illégale inconfortable.

Al-Monitor/Premise poll: Russia’s role seen as negative in Turkey, Yemen, Iraq

The Russian invasion of Ukraine hurt the region economically, as supply chain disruptions and food shortages topped respondents concerns in Turkey, Egypt, Yemen and Iraq

One year after its invasion of Ukraine, Russia’s image has taken a hit in Turkey, Yemen and Iraq, according to the latest Al-Monitor and Premise Data poll released on Thursday.

Tchad: Wagner planifie d’assassiner le général Mahamat Deby, selon Washington

Washington a des preuves que Wagner collabore avec le FACT, un groupe rebelle tchadien basé en Libye, d’après le Wall Street Journal.

Washington —

Selon les services de renseignement américains, le groupe paramilitaire russe Wagner a ourdi un complot visant à assassiner le chef de la junte qui dirige le Tchad, le général Mahamat Idriss Deby.

The Global South Refuses Pressure to Side With the West on Russia

At the G20 meeting in Bengaluru, India, the United States arrived with a simple brief. U.S. Treasury Secretary Janet Yellen said at the February 2023 summit that the G20 countries must condemn Russia for its invasion of Ukraine and they must adhere to U.S. sanctions against Russia. However, it became clear that India, the chair of the G20, was not willing to conform to the U.S. agenda. Indian officials said that the G20 is not a political meeting, but a meeting to discuss economic issues. They contested the use of the word “war” to describe the invasion, preferring to describe it as a “crisis” and a “challenge.” France and Germany have rejected this draft if it does not condemn Russia.